Hyrule Warriors

Le Nintendo Direct du 18 décembre 2013 a surpris plus d’un fan en dévoilant les premières images d’un nouveau spin-off pour la série Zelda : Hyrule Warriors.

Prévu pour 2014 sur Wii U, ce jeu fait la part belle à l’action et aux combats. Dans des mêlées affichant plusieurs dizaines d’ennemis, Link devra se montrer plus agressif que jamais pour venir à bout de ces adversaires.

Il est important de préciser qu’il ne s’agit pas d’un volet canonique de la série ! Ce ne sont d’ailleurs pas les équipes de Nintendo qui sont à la barre, ni même Eiji Aonuma, mais Tecmo-Koei, à qui l’on doit toute la lignée des Dynasty Warriors, principale source d’inspiration ici.

Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que Nintendo et Tecmo-Koei signent un partenariat : Link et Zero Suit Samus (Metroid) étaient déjà apparus dans Dynasty Warriors VS, en 2012 sur 3DS. Pour être plus précis, il s’agissait d’armes et de costumes pouvant être portés par les combattants. Le jeu n’est cependant jamais sorti en dehors du Japon, mais on notera tout de même que son développement s’inscrit dans la volonté de la société d’ouvrir plus facilement ses licences à d’autres développeurs, souhait émis lors de sa présentation aux actionnaires début 2014. D’ailleurs, à l’instar de Crossbow Training, l’absence de la mention The Legend of Zelda est là pour souligner qu’il ne s’agit pas d’un opus canonique.

Le costume de Link dans Dynasty Warriors VS (3DS, 2012)

Lors de la diffusion du Nintendo Direct au Japon, un logo a été diffusé. Au même titre que le terme Warriors du titre d’abord provisoire faisait écho à la série des Dynasty Warriors, le sous-titre de ce logo, Musou, fait référence aux Musou Games : une famille de jeux dont les principaux ambassadeurs sont les séries des Dynasty Warriors et Samurai Warriors. Pour information, ce terme pourrait se traduire par « Celui qui n’a pas d’ennemi » ou « Sans égal ».

Notez aussi la présence dans ce logo d’une toute nouvelle écharpe bleue. Écharpe portée par Link tout du long du premier trailer ci-dessous et qui fera probablement l’objet d’une introduction un minimum scénarisée.